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La Grange des Pères blanc est un assemblage de roussanne (85%) et de marsanne (15%), issus du massif de l’Arboussas.
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Domaine de la Grange des Pères - 2012 - Rouge
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Riche et harmonieux le nez offre des arômes dans un registre du grillé (empyreumatique), des fruits noirs, du café torréfié avec des notes fraîches légèrement mentholées. En bouche, on trouve beaucoup de volume et de rondeur avec un équilibre qui reste frais malgré la puissance du vin.
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VINIFICATION : vendange à la main, égrappée et foulée avant encuvage pour fermentation en monocépage. Fermentation durant 4 à 5 semaines avec remontages quotidiens. Filtration à la mise en bouteille. DÉGUSTATION : – Robe : rubis aux reflets brillants ; – Nez : ouvert sur des notes de fruits noirs et rouges ; – Bouche : vive, fruitée, gourmande, dotée d’une belle acidité, aux tanins très fins mais présents.
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Vieux gobelet de Cinsault au rendement modéré (pour du cinsault !) vendangé à la main en caissettes de 10kg fin septembre. Cette vigne est encore en « conversion vers l’agriculture biologique » car nous l’avons acheté à un voisin il y a 3 ans. Pressurage direct, débourbage puis fermentation 100% naturelle en cuve inox pendant 2 semaines. Quelques jours avant la fin de la fermentation, quand le niveau de sucre résiduel était d’environ 20g/l, mise en bouteille (bouteilles Crémant et capsules) et élevage sur lies pendant un an. Dégorgé et remis en bouteille en novembre 2014, sans filtration ni aucun additif. Belle robe aux allures de pétale de rose et fines bulles. Le nez est expressif, la bouche est vive et rafraichissante.
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TERROIR : Argilo-calcaire parfois rubéfiés et limon à silex (cailloux de grès et de silex). Travail du sol à 100 % plus un enherbement NATUREL sur une partie des vignes. VINIFICATION : Vendanges manuelles par tries (2). Fermentation alcoolique en foudres de chez Stockinger de 12 hl ovale de façon à préserver toutes la minéralité du sous sol par un élevage discret en masse. Pressurage pneumatique, degrés naturels de 12.8°, durée de fermentation 4 mois. Elevage sur les lies fines pendant 12 mois. Toutes ces opérations se font à basses températures pour préserver le fruit au vin. ROBE : La cristallinité de la robe captive notre regard et nous désarçonne. D’un jaune/paille, presque cristallin ; limpide ; lumineuse et brillante. Des reflets diaprés ondoyant entre des nuances vertes/argents, solide, riches, puissantes. NEZ : Le nez conjugue, à la fois : concentration/fraîcheur/générosité/puissance, il affirme résolument sa naissance (son lieu). Le 2ème nez, lui, laisse apparaître une multitude de senteurs fruités/florales/végétales, au travers desquelles se dessine en filigrane une fraîcheur (acidité racinaire). Au-delà de ces constatations primaires, il se développe à la façon d’un métronome. Essayons de détailler son arborescence qui nous promet complexité et émotion. Fruits blancs /jaunes/exotiques [(pomme, poire, pêche), Agrumes (citron, mandarine, pamplemousse, clémentine) ; Floral (acacia, aubépine, rose, mélisse) ; Végétal (jasmin, bergamote, gingembre, fougère, gentiane) ; Infusion (verveine, tilleul, camomille) BOUCHE : L’attaque est droite/puissante/civilisée où, également, se mêlent velouté/sensualité suggérant d’amblée tout le potentiel d’un grand terroir. Son fruité intense semble imposant et présent, se trouve surligné par des épices. L’acidité est présente, sans ostentation, dessine les contours de la matière garants de l’identité aromatique des saveurs. Son expression racinaire (gentiane, gingembre) et son point d’amure lui confèrent l’élasticité et la solidité qui lui apporte la verticalité. L’alcool est enrobé et architecture la matière dans son horizontalité. De caractère énergique, la matière ne manque pas de densité. Elle recèle un goût à la fois insistant et sapide. Dans un même registre, la finale transcende par sa netteté la richesse intrinsèque de la matière avec une rémanence de flaveurs déjà rencontrées et ce pendant de longues caudalies.
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TERROIR : Argilo-calcaire à dominante turonien, coteaux exposés plein sud ayant la particularité de se réchauffer avant les autres et donc d’avoir de belle maturité. Cette cuvée ne peut connaître le jour que sur les grands millésimes sachant que nous devons trouver de grands équilibres. Enherbement naturel. Travail du sol labour et décavaillonnage pour une meilleure aération. VINIFICATION : Vendange manuelle avec trie sur table à la réception du chai suivi d’un égrappage à 50 %. Et 50% grappe entière Degrés naturels de 12,9. Rendements de 35 hl ha. Fermentation du vin en cuve bois avec de très légers remontages juste pour mouiller le chapeau. Suivi d’une macération de 22 à 24 jours suivant le type de vin que nous recherchons. Fermentation Malo lactique en cuve bois de 25 hl ronde de chez Stockinger. Élevage en barriques de 228 litres de 2 et 3 vins ainsi que dans les foudres ovales de 12 hl et rond de 25hl. La durée d’élevage de la marginale peut varier de 18 à 24 mois suivant les caractéristiques du vin. ROBE : Rubis/grenat intense, dense et concentrée. Pas de limpidité mais la force et le mystère des vins puissants évoluant loin des sunlights œnologiques. L’arborescence des reflets descend dans les nuances de violine et de cerise. Sans aucunes nuances d’évolution. NEZ : Le 1er nez est timoré/peu loquace, de prime abord, laissant deviner un mariage très stendhalien du rouge et du noire (prune d’ente). Le 2ème nez lui, sur un registre différent, confirme le 1er nez dont il précise les contours s’appuyant des nuances mentholées, liqueur de fruits rouges, anis étoilé. Fruits noirs/rouges [(cassis, mûres, cerise burlat, myrtille) (framboise , groseille, fraise, cerise napoléon)] ; Floral (pivoine, violette, rose) ; Végétal (fougères, ortie, menthe) ; Infusion (bergamote, jasmin) ; Épices [ badiane, vanille, cannelle, poivre du Sichuan, muscade, coriandre, girofle, anis étoilé]. BOUCHE : L’attaque est droite/ puissante/ civilisée où, également, se mêlent velouté/sensualité suggérant d’amblée tout le potentiel d’un grand terroir. Son fruité intense semble imposant et présent, se trouve surligné par la fratrie de fruits rouges. L’acidité est présente, sans ostentation, dessine les contours de la matière garants de l’identité aromatiques des saveurs. L’alcool est enrobé et architecture la matière dans sa verticalité. Les tanins sont nombreux, juvéniles, déjà ronds et s’anobliront avec l’effet du temps. Dans un même registre, la finale transcende par sa netteté la richesse intrinsèque de la matière avec une rémanence de flaveurs déjà rencontrées et ce pendant de longues caudalies.
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Corsé propre et intense avec des arômes de poires amandes et de miel.
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Couleur de lumière – un nez assez délicate Peachy sèche. Acidité fraîche – notes herbacées et une touche de minéralité. Acidité rafraîchissante.
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Le fruit et le gras du vin sont toujours privilégiés et les tannins sont très fins, harmonieux et fondus. Les vins sont à déguster avec une cuisine de terroir, gibiers, viande en sauce, picodons de l'Ardèche.
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Le Loup Blanc - La mère Grand - Rouge - 2012